LA CONFIANCE

Voilà un mot qui raisonne en nous avec beaucoup d'acuité en ces jours sombres ou la France sombre dans un marasme inquiétant. La confiance en l'avenir c'est la phrase existentielle pour bon nombre d'entre nous  qui ne se retrouvent pas dans cette chienlit socialiste. Cette question "La confiance" beaucoup d'économistes  sont unanymes pour dire que sans cette impression forte, pas d'investissements, pas d'embauches. Mais comment en est -on arrivé là? comment tant d'incertitudes taraudent  les entrepreneurs? La frilosité générale provient de quoi? Pour répondre à cette question, revenons sur le début du quinquennat d'hollande. Premières mesures, taxation du travail, taxation du capital, création de nouveaux impôts et pour couronner le tout, une réglementation fiscale désordonnée une absence de cap.Les français, enfin ceux qui réfléchissent, ont très vite compris, qu'il fallait mieux rester très prudent sur tous investissements. La logique d'avenir du pays pour les socialistes, l'impot: croyez-vous que ce leitmotiv de cette gauche archaïque a de quoi rassurer tous ceux qui pouvait miser sur un avenir? L'impot, est devenu une forme de marque, de repère pour les socialistes. Ce n'est pas autre chose que de la propagande aux yeux des assistés de notre pays. Ce n'est pas en appauvrissant les uns par rapport aux autres que la confiance sera au rendez-vous, en fait c'est tout l'inverse qui c'est produit, en, décourageant les uns mais n'apportant aucune solution aux autres?. Quand on pense que des français ont cru à ces balivernes proféraient par un menteur? C'est dire leur niveau de culture générale de, la conduite d'un pays! Hollande le petit pére du peuple de la Corréze a été élu par dépit, par rejet du candidat de droite. Ses électeurs ont cru en lui comme l'arrivée du messie. Je pense aujourd'hui, que ces cocus de la propagande seront plus avisés en désignant un candidat.Autre constat, autre motif de défiance, la dette publique. Le ministre des finances nous dit, ça va mieux sur le plan de la dette publique, oui, mais à croire qu'il ne sait pas interpréter les graphiques de la dettes publiques. En réalité nous n'avons fait aucun effort pour la réduire et le seul élément positif, est le taux d'emprunt. Ce qui ne veut pas dire que le montant a diminué pour autant. La encore, mensonge d'état, mensonge grossier pour satisfaire une bande de rigolos qui font fonction de ministre.Le bateau France, piloté par un capitaine de Pédalo, prend l'eau de toute part. Et oui, la France va mal, et le pire, c'est que nous sommes la risées des autres pays européens. Ces derniers ont eu le courage de faire des réformes, mais nous, englués dans des contradictions, nous reculons.Que faire devant ce manque de confiance? D'abord le diagnostique, le pays n'a plus confiance dans ses politiciens. Il faudra lors des prochaines élections mettre à la tète du pays un homme à poigne, capable de décider brutalement les réformes nécessaire sur le plan économique et sociétal. Les premiers mois de son mandat aux réformes structurelles, à la remise à plat de la fiscalité, à la relance de l 'économie par la désacralisassions des 35 heures, au retour à un social mérité, et aussi à une réforme complète de la gestion de l'émigration, en supprimant toutes les aides sociales à tous ceux qui sont en situation illégales sur notre sol. La confiance, ce mot magique, cela se mérite. Il faudra de la hardiesse et du courage pour qu'enfin, nous les français responsables, nous puissions dire "Avec ce chef nous avons confiance"