CAP SUR L'ABSURDIE

Vous n'avez pas l'impression que le bateau France navigue sans un cap bien défini et avec un capitaine plus occupé à tripoter les moussaillons de couleur plutot que donner des ordres nets et précis? Nous nous dirigeons vers des amers particulièrement dangereux  comme celui de la gréve perlée ou l'autre tout aussi néfaste le blocage des raffineries. L'armateur a mis à la barre un pilote sans grande conviction et sans autorite et par ce fait l'équipage fait ce qu'il veut et glandouille dans les soutes alors que la coque prend l'eau de toute part. Triste état que ce rafiot d'ailleurs l'armateur leur a dit avant le départ "Nous sommes ruinés" Nous vivons qu'avec des emprunts concédés par l'amirauté allemande.Pire encore, compte-tenu de la légéreté des boscos en chef, les voiles ne sont par ferlées, et elles balance d'un bord à l'autre perturbant ainsi l'équilibre précaire.  L'analogie avec ce bateau est flagrante avec ce gouvernement. Pensez-vous bien sincérement que nous allons nous en titrer avec cette bande d'amateurs ou au contraire comme sur le titanic, commencer à capeler les brassières de sauvetage?Regardez la discipline à bord, insécurité, agressions, viols, tous les effets de veulerie des bas fonds du port. La moralité elle n'est plus celle de la royale. Nous avons des hommes bi des femmes à barbe, des mignons, tout un équipage qui fleure bon la société actuelle. Par mesure d'économie on n'a pas pris de pilote pour évaluer la bonne route. L'argent qui lui était destiné a été versé dans les bourses étrangères, dans des futilités qui sentent bon le copinage. Confier le navire France a un équipage non affirmé, nous conduit à la ruine, la faillite, le déshonneur. De plus ce capitaine à tendance à vouloir se méler des affaires des autres et comme tout jeunot sans expérience il tient à ce que son nom soit inscrit en lettre d'or sur le livre de bord. Malgré ces aléas d'un pilotage au pif, nous continuons notre route vers l'Absurdie, contrée peuplée de bobos, de parvenus, de mi-hommes mi-femmes. Par mesure d'économie, notre vaillant capitaine à décidé de limliter l'éclairage du bord, de diminuer le chauffage et de rationner le picrate. A la cambuse ça grogne et le Martinez promet une mutinerie pour ramener la ration aux normes des picolos. Tous les marins le disent, à bord pas de femmes ni de lapins, et bien ce n'est pas le cas pour notre bateau. Les femmes n'ont pas la meme psychologie du management et elles on tendance à tout diriger. Quant aux lapins ce n'est pas à causse de leur rapidité à procréer qu'ils sont honnis à bord, mais parcequ'ils ont tendance à tout bouffer yè compris les cordages. Comme vous le voyez, l'avenir de ce bateau est loin d'étre assuré. Un changement de capitaine serait nécessaire et retrouver un homme ou une femme à poigne pour reprendre en main tout cet équipage de brics et de brocs. Avons nous ça dans la réserve de la capitainerie? Pour le moment je ne vois pas l'once d'une casquette à l'horizon. Nous avons bien des prétendants mais pas assez couillus pour mater ce petit monde. Alors, faisons appel aux anciens, à ceux qui maitrisent les vents. Moi personnellement je mettrai à la barre un homme à poigne, un encadrement de qualité et un retour à la discipline. Toute tentative de déviance, verrait le prévenu en fonds de calle avec les fers aux pieds. La bonne vieille discipline celle qui rassure celle qui donne un sens à la vie en collectivité voilà la solution. Tous le ramassis de parasites qui bouffent la coques embarquement immédiat vers leur lieu de naissance. Griblages des bons marins, des bons pilotes, retour vers la mer de la tranquillite, de la serenité. Quant-au capitaine actuel et son staff de guignoles, coup de pied au cul au passage de la coupée. Fin de l'aventure vers l'Absurdie/