LE CHEMIN

Nous ne sommes pas seuls. Toute l'humanité chemine avec nous, car elle est préoccupée par la même recherche du bon chemin de vie. Sur ce chemin nous ne trouvons aucun panneau d'indications. Nous cherchons tous la réponse à la confusion, à la nausée morale et au vide spirituel. Nous les Français plus que les autres, nous nous languissons de la perte d'une direction morale, mise à mal par des socialistes avides de détruire le fragile équilibre acquis au cours des siècles. On dit que nous vivons une époque anxiogène et il vrai que nous n'avons pas connu autant de crainte et d'insécurité. Tous les marqueurs habituels de notre société semblent avoir disparu. Nous parlons de paix sociale et nous avons la guerre! Nous avons l'impression de courir dans tous les sens, dans toutes les directions comme des enfants apeurés. Chaque fois nous nous disons que ce chemin est bon, mais à chaque fois nous constatons que nous nous sommes trompés.

La liberté politique que nous avons si chèrement acquise devez nous rendre plus heureux! Laissez nous choisir notre gouvernance et la vie vaudra la peine d'être vécue.C'est ce qu'on crut bon nombre de français en votant socialiste. Résultat nous avons la corruption en haut lieu, du favoritisme d'exploitation et l'hypocrisie égalant et quelquefois surpassant le despotisme ancien. La liberté est une excellente chose encore fait-il qu'elle s'adresse à des gens capables d'en comprendre le sens. Le syndrome des moutons de Panurge est propre à une partie des électeurs. Comme on le devine, la liberté politique à elle seule ne peut donner satisfaction, pour s'en persuader prenez l'exemple du lobby gay. Devrait-on associer cette liberté politique à la culture? Cette union paraît brillante, bien éclairée et raisonnable. Pourtant là aussi les résultats ne sont pas au rendez-vous, les dissensions entre les "éducateurs politiques" posent problème.

On assimile cette culture à une coloration politique. Écouter les socialistes, ils ont l'impression d'avoir la science infuse pour changer le monde, et effectivement fort de leur majorité parlementaire, ils nous dictent une nouvelle doctrine de la vie sociétale. Doctrine associée à la perte des valeurs familiales, à la, décadence des moeurs, à la permissivité en matière de drogue, à l'expropriation des biens, à la spoliation des revenus du travail. Alors que faire pour trouver le bon chemin? Celui qui me paraît le plus attrayant avec notre conception traditionnelle de la vie, c'est celui du retour à l'ordre moral. C'est un chemin qui nous conduit vers une stabilité de nos moeurs conforme à notre principe judéo-chrétien, principes élaborés patiemment par des siècles d'application. Un chemin d'honneur, fort du respect du dogme de la famille, conforme au droit des enfants. Pour retrouver notre plénitude, ce confort sociétal, il faut convenir que toutes dérivent dans ce domaine, doit être combattu avec l'extrême vigueur. Tous ceux qui professent la théorie du genre où l'on mêle la jouissance, l'homosexualité, la perte de nos principes, tous ceux-là doivent être dénoncés avec véhémence. Un seul chemin nous garantit une force morale, c'est sur celui-ci que nous devons cheminer, comme le font les pèlerins de Saint Jacques de Compostelle.