LE SENTIMENT D'INSECURITE

Le sentiment d'une insécurité généralisée est désormais un fait acquis par l'opinion en France.Les lois de la république sont bafouées.Il ne s'agt plus d'actes isolés.La terreur s'installe dans les cités.La menace terroriste est là dans toute sa réalité. La mise en place d'une parade est laborieuse car les politiciens de gauche dans leur grande naïveté, sont englués dans leur idéologie.Le mal des banlieues provient essentiellement d'un bouillon de culture incompatible avec l'esprit même le la république. Le manque de prospectives, l'absence de toute préoccupation sociologique sont évidents dans ces lieux de désordre constant. Aucune dimension humaine n'a été prise en compte pour contrer l'islamisation forcée et excessive de ces zones de non droit. Le bouillon de culture est activé fortement par l'apport de population d'origine étrangère peu désireuse de s'intégrer dans le moule républicain ou le religieux n'existe pas. L'assimilation de ces populations pouvait se faire par l'intégration au travail et par l'éducation républicaine. L'assimilation par le travail a échoué car cette population n'a aucune qualification nécessaire à nos besoins. Quant-à l'assimilation par l'école, l'échec est patent. Au lieu de mettre des enseignants qualifiés dans ces zones, on a mis que des jeunes professeurs peu qualifiés. Pire encore, les français de souche, les bons vieux gaulois, qui résidents dans ces zones, rejoignent le bataillon des exclus de la société car logeant dans ces memes endroits. La fracture sociale est complète sur le plan géographique et sociologique. Tout ceci nous amène à, essayer de définir les menaces résultant de cette situation à risque. Des bandes d'adolescents; bien souvent des mineurs, s'en prennent aux nantis, en occurrence aux symboles; la voiture qu'on incendie, même si cette dernière appartient à un locataire de leur cité. On lance des cocktails molotov, on tire a l'arme à feu sur les forces de police, les pompiers, les médecins, peu importe la cible l'important c'est de détruire tout ce qui s'assimile à l'état de la nation.. La police, les gendarmes, personnifient encore plus l'autorité, ils sont donc considérés comme des ennemis avérés. Dans ces conditions détestables, la bavure est toujours à craindre. Alors pour intervenir dans ces banlieues, il faut monter des opérations quasiment du type militaire. Le reste du temps, ces zones demeurent des zones de non-droit. La menace terroriste est là, elle n'attend qu'une main étrangère pour avoir un objectif politique. Le terreau est propice à la montée de l'intégrisme. C'est révélateur du désir d'une gouvernance à poigne, contrairement à l'image de celle véhiculé par une gauche laxiste. La menace interne est donc présente et l'apport des conflits arabes dans notre pays vient singulièrement radicaliser le débat. Le risque de déstabilisation de la république est prégnant. Qu'avons-nous comme recours? Les forces de troisième catégorie, c'est à dire l'armée. Et oui nous en sommes là aujourd'hui, il nous faudra déployer l'armée dans ses zones, rétablir un quadrillage du terrain, éradiquer tous les trublions d'une manière forte sans état d'ame et si besoin rétablir le couvre feu. Oui, mais l'armée aujourd'hui est-elle en mesure d'intervenir? Hélas non, car le président, par son ignorance de la menace, à déployé l'armée à l'extérieur du pays. Résultat, nous n'avons donc plus qu'un seul recours, la création de milices civiles.Ce déploiement de ces forces civiles n'est que le prolongement d'un état de légitime défense. La logique voudrait que tous les faits de nuisances à la nation trouve une réponse judiciaire. Oui, dans une logique républicaine, mais avec à la tète du ministère de la justice une ancienne terroriste, comment voulez-vous que cette institution sanctionne avec sévérité tous les faits de désordre publics?  Non, nous devons que compter sur nous, les patriotes. Tous ces bobos de gauche bien calfeutrés dans leurs quartiers, n'ont que faire du problème de l'insécurité dans les banlieues. Restaurons l'autorité au besoin par la force. Mirabeau disait en 1789, que l'on pouvait tout faire avec des baionnettes sauf s'asseoir dessus. Et bien agissons en vrai républicain pour défendre notre pays.