LES COMPLICES DE L'ISLAMISME

Après le carnage de Nice et le meurtre du prêtre dans une église par des islamistes on est en droit de s'interroger sur la pertinence des décisions des juges du Conseil d'état lorsque notre société est attaquée sur ces fondements républicains par une minorité radicalisée. Ces derniers viennent de démontrer leur capacité à nuire à notre pays et ces hommes sont sans aucun tabou ni limite des lors ou nous sommes des contradicteurs avec leurs coutumes bestiales. Les services concernés par la lutte contre ce terroriste le savent, ils passeront aux étapes suivantes pour continuer à nous déstabiliser. Face à cette menace réelle, les juges du conseil d'état, face à l'interdiction contestée du port du burkini, n'ont ils pas offert une victoire à l'islam conquérant en invalidant les arrêtes des maires? La stratégie de ces terroristes est simple (Avec nos lois démocratiques nous montrons nos faiblesses et ainsi leur lois coraniques prennent le dessus). Ces juges censés dire le droit, ne sont-ils pas marqués politiquement à gauche? En effet en raison de leur prise de position dans le passé, il ressort une certaine inclinaison vers l'islamisation de la France, à la régularisation des clandestins, à l'abandon de toute référence nationale et à toute idée de nation.! Ces juges ont montré leur incapacité de rendre un jugement au nom du peuple français en ne respectant pas la neutralité qui devrait être de mise. Aux yeux des français, cette ordonnance qui tolère le burkini est donc illégale. Ces juges n'ont rien compris au symbolisme dans le port de cet accoutrement. Ce vêtement qui offense notre culture n'est rien d'autre qu'un uniforme de l'islam. Le burkini n'est sans doute qu'un instrument au service de la soumission de la femme et de son infériorité. Comment ne pas comprendre que ces uniformes traduisent le refus affiché et revendique du vivre ensemble prône par les socialistes? Les autres femmes qui ne portent pas ce burkini sont impures, voir des putes pour les musulmans. Et tout cela dans l'indifférence des 250 morts dont ceux de Nice suppliciés, persécutés,victimes de ces barbus qui ont osé introduire un recours en Conseil d'Etat? Arrogance de nos ennemis, faiblesse de nos dirigeants, indécence des juges voir COMPLICITE. Nous sommes en état d'urgence et nous sommes en guerre"dixit le chef de l'état", contre un ennemi à l'extèrieur, mais aussi à l'intérieur de notre pays. Cette menace interne est plus inquiétante car elle est déjà présente dans de nombreux quartiers ou la loi républicaine n'est plus respectée. Alors que le péril est présent, urgent, que faisons nous? Pour des raison idéologiques, plus que juridiques, nos dirigeants sont toujours en train de s'interroger sur le sexe des anges, alors que la situation n'a jamais été aussi tendue. Les juges n'ont pas pris la mesure de cette situation. Une telle réponse de lâcheté ne fait qu'attiser la haine envers l'islam. Les français ne supportent plus ces burkinis, ces jellabas, ces niquals. C'est autant d'agressions à l'égard de notre culture. Ces juges obsédés par leur militantisme culturel et anti-national n'ont pas su estimer le risque de leur décision.Nous somme en guerre et ces juges auraient du tenir compte de cette situation. En se retranchant derrière un alibi du droit de temps de paix, ils se sont abstenus de prendre en compte que la  France est fragilisée par ces attaques. Nous montrons notre faiblesse ,aliors que nous devrions montrer notre force. Ces juges sont de fait des collaborateurs avec cet ennemi en lui facilitant sont implantation dans les esprits.  N'oublions pas que l'islam n'est pas compatible avec l'esprit républicain et c'est l'islam qui prône le djihad contre la France et sa culture. Nulle doute qu'après cette victoire obtenue grâce à la lâcheté des juges, l'ennemi pourra parader dans nos banlieues et pourra multiplier les provocations vestimentaires. Et nos gouvernants socialistes auront une fois de plus, l'outrecuidance de nous dire qu'il ne faut faire d'amalgame. En démocratie le peuple est souverain, et il sait se souvenir du nom de tous les traîtres au pays.