LA CHARITE MERITEE

De nos jours, la charité devient une préoccupation de tous les instants. Il ne se passe pas de semaines sans que nous soyons culpabilisés pour telle ou telle cause. Toutes les occasions sont bonnes pour nous sensibiliser voir nous culpabiliser, et ouvrir le porte monnaie afin d'arroser les solliciteurs. Personne n'ose remettre en cause cette machination sachant que bons nombres d'orgagismes se gavent à vos détriments. N'en déplaise à la bien pensante, moi je m'interroge sur l'efficacité de ces démarches sachant que donner sans contre partie c'est encourager le receveur à se satisfaire de cette situation. Tout est bon pour vous amadouer, l'image d'un enfant mendiant du pain, l'handicapé couché à meme le sol, on joue sur votre corde sensible, l'important c'est de choquer. Effectivement il y a des situations qui sont délicates, mais ce n'est  malheureusement pas  la généralité. Je crois qu'il faut revenir sur l'objestif de cette charité, et introduire une notion essentielle "Le mérite"  La reconduction de la charité pour certaines personnes, c'est entretenir une forme de paresse. N'oublions pas le premier principe édicté pour l'homme dans la genése "C'est à la sueur de ton front que tu mangera ton pain"  Je vais meme plus loin en citant Jean Paul 2, C'est par le travail que l'homme doit se, procurer le pain quotidien et contribuer au progrés continuel des sciences et de la technique et surtout à l'élévation culturel et morale de la société. Les effets de la charité sans contre partie sont dévastateurs. J'ai en mémoire ce que disent les charitons qui par leurs maraudes du samedi soir entretiennent un dialogue avec cette population en errance. Ils constatent une forme de complaisance dans cette attente de charité, voir meme exiger des prestations supplémentaires sans s'offusquer de l'anomalie de leur demande.  Par cette charité nous avons déresponsabilisés ces gens et nous les avons marginaliser par cette action. Avons nous répondu à l'éxigence de charité? Bien sur que non puisque nous avons initié une forme de complaisance. Moi je préconise une charité avec une contre partie. L'oisiveté que l'on entretien mene ces gens secourus, vers l'alcool, la drogue, la prostitution. La société se doit d'agir pour contrer cette dérive, et arracher à la rue de gré ou de force ces gens pour les réinserrer à la vie. Oui ça choc et pourtant c'est la seule solution pour leur faire retrouver de la dignité. Un autre exemple frappant. Regardez les personnes qui fréquentent les restots du coeur. Voyez toutes ces personnes valides qui ne prennent meme pas la peine d'aider les bénévoles. Au nom de qui peuvent elles réclamer si elles ne daignent pas aider leur soutien?L'ADN de l'homme est compatible avec la charité mais ou s'arréte cette obligation?  Je ne remets pas en cause ce grand principe, mais, il me semble que nous ne rendons pas service à toutes ces personnes marginalisées en perpétuant cette dérive de charité sans contre partie. Aide toi et le ciel t'aidera, cette maxime veut tout dire. Je suis d'une génération ou les secours étaient peu nombreux, c'est ainsi que nous avons été forgés. Comme disent certains commentateurs, il faut changer de logiciel, est prendre en compte la vraie nature de lhomme courageux, capable de s'assumer dans cette société individualiste. La Charité oui mais pas à n'importe quel prix. On reçoit, on donne.