MA LIBERTÉ DE PENSER

Je peux exprimer mes pensées par un texte, un imprimé, un livre, une affiche, un journal, un mail. Les limitations mémés que divers régimes ont apportées à la liberté de la presse prouvent bien sa puissance et combien il est délicat d'en préciser les limites. La puissance même de la presse, vecteur de la pensée, pose problème. D'abord,et vue les dernières élections présidentielles, combien certains journalistes ont abusé de leurs pouvoirs, en usant de leur liberté pour diffamer, injurier. Ensuite nous avons vu également que certains financiers, groupements occultes comme les francs maçons,ont subventionné des journaux pour défendre habilement une politique qui leur serait personnellement favorable, voire profitable. Ainsi, nous avons une presse plus encline à défendre des intérêts plus que des idées. Avec le recul, nous avons également vu des atteintes à la liberté de penser, par le matraquage des idéaux de gauche.

Rappelez-vous aussi avec qu'elle véhémence le mot travail a été assimilé au pétainisme, tant il est vrai que ce mot décoiffe un peu dès lors ou l'on prône une politique de cigale..Il est à peu près impossible aux hommes équilibrés de les empêcher de penser, il est évident que dans le for intérieur leurs opinions personnelles sur maints problèmes. Mais à quoi sert de penser librement dès lors ou ce que je défends rencontre une telle animosité des soi-disant bien pensants de la pensée unique? Les limites de l'intervention de la presse commencent ou elles incarnent une dictature de la pensée. Je dois pouvoir exprimer ma pensée sans être vilipendé par des extrémistes de tous bords. Ma liberté est un droit imprescriptible, je suis libre de penser ce que je veux et j'entends que la presse fasse de même sans être tenue par des liens contraignants des dirigeants.Les éditorialistes aux ordres des partis sont inconciliables avec l'idée même que l'ont se fait de la liberté d'informer. On n'endoctrine pas les hommes libres, on débat certes, mais on se respecte. Le gavage de satisfecit des hommes de gauche fragilise les plus faibles et entache la liberté de pensée. Nous voyons bien que cette pensée unique véhiculée par les médias, rend sectaire et développe un climat de haine.Est cela la république de nos pères? J'en doute, nous avons le devoir de protéger cette liberté de penser, c'est dans l'intérêt de la démocratie. Nous sommes libres de choisir, de dire, sans avoir sans cesse des censeurs qui nous disent la bonne parole. Le droit de critiquer un droit absolu lié à la liberté de penser, d'ailleurs rappelez-vous la conduite des socialistes pendant cinq ans! qu'on t-il fait si ce n'est critiquer sans cesse! Aussi aujourd'hui je veux défendre ma liberté de penser sans que dame censure vienne contrarier mon droit fondamental.